Le portrait est un exercice jubilatoire et
le pratiquer me semble une révérence
vis-à-vis du modèle. Au-delà de l’étude
morphologique et psychologique, c’est
l’empathie qui rend l’œuvre heureuse. Les
trois dimensions de la sculpture permettent
aussi une infinité d’angles de vues qui ne
lassent pas la fréquentation des
bustes qui offrent une présence toujours
ravivée. |